Jacques ANQUETIL
Naissance à Mont St Aignan, enfance à Bois Guillaume puis à Quincampoix, premier club à Sotteville Les Rouen
Il habitera ensuite dans son château à la Neuville Chant D’oisel
1934-1987
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Voir incroyable vie intime de Jacques sur Europe 1
Voir vidéo INA sur le record de l'heure www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caf86014785/l-affaire-anquetil
Voir dernier Tour de France INA
Voir émission après sa mort en 2017 ICI
Voir la boutique d'André Boucher
Ernest Anquetil le grand-père de Jacques mort en décembre 1916 à 45 ans, à Verdun, pendant la première guerre mondiale
Jacques Anquetil avec Janine Boëda née LEPETIT et ses deux enfants Annie et Alain Boëda
Le coureur ANQUETIL commence sa carrière amateur en 1951 en gagnant sa première course à 17 ans.
En 1952 à 18 ans, avant ses dix-huit ans, il est champion de Normandie, puis de France amateur, l'année suivante, le Grand Prix des Nations qu'il gagnera plusieurs fois par la suite.
En 1987 il décède à 53 ans d'un cancer de l'estomac, certainement en relation avec la prise importante d'amphétamines pendant sa carrière professionnelle très longue (1953-1969). On peut remarquer que son père Ernest, maître-maçon, est mort à 57 ans et que son grand-père Ernest est mort à 45 ans à Verdun pendant la première guerre mondiale.
Depuis les années sixties, Jacques Anquetil le maître du chrono et du dopage, lui qui ne connaissait que les amphétamines, affirmait que la dynamite ou Bomba influençait et pas qu’un peu le rendement athlétique : « Le doping change un cheval de labour en pur-sang d’un jour ».
Début de carrière
Carrière qu'il commence le 27 septembre 1953 pour courir le renommé Grand Prix des Nations qu'il gagne 9 fois en 9 participations. Une épreuve contre-la-montre (CLM) de 140 kilomètres qui emprunte notamment les côtes de la vallée de Chevreuse. Jacques Anquetil remporte sa première course internationale de prestige et devance son second Roger Creton de près de sept minutes, en approchant de trente secondes le record de l'épreuve, détenu par le Suisse Hugo Koblet.
La suite de sa carrière et de sa vie sur Wikipédia
En 1958, Jacques Anquetil épouse Janine Boëda, née LEPETIT dite "Nanou". Depuis plusieurs années, le coureur cycliste vit une relation avec elle, c'est la femme de son médecin personnel André Boëda. Onze ans plus tard, lorsque Jacques Anquetil prend sa retraite en 1969, son désir d'avoir un enfant de son sang est plus fort que jamais. Nanou a déjà une fille, Annie, et un fils , Alain, de son précédent mariage. Mais elle s'est fait ligaturer les trompes après ses deux grossesses et ne peut plus avoir d'enfant. Elle souhaite garder Jacques et demande à sa fille de porter l'enfant de Jacques.
En 2004 Sophie Anquetil sort un livre très étonnant sur la vie privée de Jacques Anquetil
"Pour l'amour de Jacques de Sophie Anquetil " où l'on apprend que Jacques Anquetil, dans les années 1970, a un enfant avec Annie, 18 ans, la fille de sa femme Janine. L'enfant s'appelle Sophie. Puis en 1985, Jacques a un fils, Christopher, avec Dominique la femme d'Alain. Alain est le fils de Janine et son couple avec Dominique ne fonctionne pas .
La suite sur l'incroyable vie intime de Jacques Anquetil sur Europe 1
Annie quittera Jacques et sa mère Janine, puis Janine quittera Jacques. Dominique restera avec Jacques jusqu'à sa mort en 1987.
2017 le docteur André Boëda décède à 92 ans
2024 Janine Boëda née LEPETIT, a quitté Jacques en 1986, meurt en 2024 en Corse à 96 ans.
Sophie Anquetil en 2004, la fille de Jacques et Annie née en 1971
Janine Boëda (nom de son premier mari) née LEPETIT (1928-2024) a épousé le 2 décembre 1958, à 30 ans, Jacques ANQUETIL, 24 ans. C'était son second mariage. En premier mariage, Jeanine a épousé le médecin, spécialiste du sport, André Boëda (1925-2017) de Rouen dont elle a eu deux enfants.
Déclaration de Janine Boëda née LEPETIT sur son enlèvement par Jacques Anquetil en avril 1957. Elle a 29 ans. Ils se marieront en 1958.
Enlevée même, au sens propre du terme comme elle l'avait expliqué dans Vélo Mag : « Je m'étais retrouvée en robe de chambre et en slip, dans la rue. Nous avions pris le train pour Villefranche... C'était une folie. Une folie qu'à aucun moment je n'ai regrettée. C'est étrange, parfois je pense : ''mais pourquoi est-il venu dans ma vie ?'' Et, l'instant d'après, je remercie le hasard de l'avoir mis sur ma route. »
Géminiani (1925-2024) est notamment à l'origine de « l'exploit de légende » que constituent les victoires d'Anquetil obtenues sur Critérium du Dauphiné libéré et Bordeaux-Paris en moins de vingt-quatre heures, lors de la saison 196591. En tant que directeur sportif, il remporte quatre fois le Tour de France : avec Jacques Anquetil, de 1962 à 1964, puis avec Lucien Aimar en 196692. lire sur wikipédia
Les obsèques de notre Grand Jacques se déroulent la cathédrale de Rouen le 20 novembre 1987, deux jours seulement après sa disparition.